Selon lui, le CPT n’a pas réussi à garantir la sécurité, organiser un référendum constitutionnel ni préparer des élections crédibles, ce qui montre son incapacité à répondre aux attentes du pays.
Claude Joseph a jugé irréaliste la tenue d’élections présidentielles avant la date limite fixée au 7 février 2026 par l’Accord du 3 avril 2024, soulignant le manque de conditions matérielles, sécuritaires et institutionnelles nécessaires. Il a aussi dénoncé la gouvernance actuelle comme inefficace et corrompue, qualifiant le CPT de “scénario de honte” et de “corruption”.
Face à cette situation, il appelle à une alternative politique urgente avant 2026, estimant que le pays ne doit plus supporter un Conseil de transition qui ne remplit pas ses missions et qui contribue à l’aggravation de la crise haïtienne.
En résumé, Claude Joseph dénonce l’échec du CPT à stabiliser Haïti et à organiser des élections, et il réclame une nouvelle solution politique avant la date butoir de 2026 pour sortir le pays de la crise profonde qu’il traverse.